« On veut atteindre toute la route 148, les bandes riveraines et les bords de chemins. Nous sommes les voisins du Parc national de Plaisance qui est un des seuls parcs nationaux de la province à avoir un contrôle sur le roseau commun. On ne veut pas que cette plante se rende à nos terres, parce que quand le roseau commence quelque part, il détruit tout le reste. Ça se répand facilement et on peut oublier la biodiversité et l’intérêt paysager », explique Alain Gamache, maire de Lochaber Canton, localité qui porte ce dossier à bout de bras depuis deux ans.